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Histoire de l'humanit� pr�sent�e comme une chronique de sa croissance culturelle et sociale: Tome 1 - Qu'est-ce que l'humain? - Ancestrologie - Des australopith�ques � Homo sapiens: une longue histoire de famille
Histoire de l'humanit� pr�sent�e comme une chronique de sa croissance culturelle et sociale: Tome 1 - Qu'est-ce que l'humain? - Ancestrologie - Des australopith�ques � Homo sapiens: une longue histoire de famille

Histoire de l'humanit� pr�sent�e comme une chronique de sa croissance culturelle et sociale: Tome 1 - Qu'est-ce que l'humain? - Ancestrologie - Des australopith�ques � Homo sapiens: une longue histoire de famille in Bloomington, MN

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LOUIS LÉTOURNEAU, un autodidacte animé par une soif inextinguible de savoir, a consacré toute sa vie à une quête: comprendre pourquoi l'humain se distingue du reste du monde animal. Rejetant les explications mystiques et hanté par le syndrome de l'imposteur, il s'est plongé dans les méandres de l'histoire pour y trouver des réponses. Il a alors entrepris une tâche colossale: réécrire radicalement l'histoire de l'humanité suivant une vision globale, la présentant comme une chronique de sa croissance culturelle et sociale.
Quelques titres de la table des matières
Qu'est-ce que l'humain?
L'humain: un animal parmi d'autres
Un quotidien similaire: animaux et humains
L'humain imitateur: les animaux comme modèles
Réflexions sur le couple humain primitif
La société une invention animale?
Communication: un besoin fondamental de l'humain
Qu'est-ce que la culture?
Transmission culturelle et dressage: une comparaison
Chronique de l'épopée humaine
Homos, Homo sapiens: une même famille
Les origines d'Homo sapiens
Survivre au temps géologique et aux changements climatiques
Une première partie d'histoire: les limites de l'échantillonnage
Un quotidien toujours pareil
Ce que nous sommes se définit par nos actes, et ceux-ci ne peuvent être ignorés. Pourtant, nous en avons été les spectateurs et cela ne peut plus durer. Nous devons revoir nos notions de pouvoir et accepter qu'uniquement la vie ait de l'importance. Il faut admettre que tout ceci a été accompli par une espèce de singe, et qu'il n'a eu aucune aide pour y parvenir. L'humain est avant tout un imitateur, et à ce titre, il est plus proche d'un oiseau que d'un primate. Comme oiseau, il est à l'image des étourneaux sansonnets qui volent en nuée, dessinant un ballet sans chef, mais ordonné au gré des vents. Il est un être social, un créateur de culture qui s'adapte à tous les milieux et à toutes les situations, et c'est là un aspect fondamental de son identité.
Malgré tous ces millions d'années d'évolution, il ne faut pas oublier que tous nos ancêtres ont été enfants, adolescents, jeunes adultes, parents et grands-parents. Tous ont eu une famille. Chacun a joué dans le sable, lancé des cailloux, s'est baigné dans les lacs et les rivières. Tous, sans exception, se sont émerveillés devant les levers et les couchers de soleil. Tous ont contemplé la lune, la nature et leur environnement. Tous ont savouré chaque instant de leur vie. Tous ont aimé. Il ne faut surtout pas oublier qu'ils ont tous été un maillon de notre histoire, et ce, pour toutes les générations, pendant plus de deux millions cinq cent mille ans.
Toute cette histoire nous enseigne que tout change, et que le quotidien demeure. C'est une évidence de constater que nous répétons inlassablement les mêmes gestes. C'est comme si nous enfouissions ces apprentissages dans le sable mouvant de nos justifications et que les marées de l'adolescence venaient régulièrement effacer les traces de nos vies antérieures. Et c'est toujours sous la pression de l'obligation que nous tentons de changer, pour retomber dans les mêmes travers.
Mais l'histoire est aussi marquée par un fléau: la guerre. Des conflits tribaux de l'époque de Shaka Zulu aux guerres mondiales, bien des choses ont changé. Les méthodes évoluent, les morts se multiplient, l'efficacité augmente. Il ne faut plus cinquante lances ni vingt flèches pour tuer un homme, pas plus que dix coups d'épée. Aujourd'hui, une seule bombe suffit à ôter la vie à des centaines de milliers d'individus, et ces victimes ne sont plus des guerriers, mais des femmes et des enfants. Nous avons déplacé le théâtre de la guerre pour atteindre les plus faibles. Il faut enfin accepter une réalité cruelle: la besti
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